La
vie génitale de la femme commence avec la puberté et se termine au
moment de la ménopause. Elle est marquée par la succession des cycles
menstruels, dont le signe le plus apparent est la « menstruation ». La
menstruation est communément appelée « règles ». Elle constitue la
manifestation externe visible des cycles menstruels. Elle dure en
moyenne 4 à 5 jours. La quantité de sang perdu varie en moyenne de 50 à
100 ml. Il s’agit de sang incoagulable, alcalin, mêlé à des fragments de
muqueuse et aux secrétions utero-vaginales. Le « cycle menstruel », est
la période qui s’étend du premier jour des règles jusqu’au jour qui
précède les règles suivantes.il dure en moyenne 28 jours mais il peut
être plus court, plus long ou irrégulier.
La première menstruation:
Les menstruations apparaissent au moment de la puberté et peuvent être avancées par plusieurs facteurs (le climat, l’état de santé, la nutrition, le genre de vie, etc.).
Fin des règles :
Les règles s’arrêtent entre 45 et 55 ans : c’est la ménopause. règles absentes, abondante, douloureuses … toutes ces perturbations du cycle inquiètent les femmes. Voici quelques critères que seraient susceptibles de faire douter une femme de la normalité de ses règles :
Intensité du flux :
Il s’agit en général d’un facteur personnel, très difficile à évaluer. Mais c’est ni l’abondance ni la rareté du flux qui doit attirer l’attention mais le changement brusque de son intensité.
Les menstruations apparaissent au moment de la puberté et peuvent être avancées par plusieurs facteurs (le climat, l’état de santé, la nutrition, le genre de vie, etc.).
Fin des règles :
Les règles s’arrêtent entre 45 et 55 ans : c’est la ménopause. règles absentes, abondante, douloureuses … toutes ces perturbations du cycle inquiètent les femmes. Voici quelques critères que seraient susceptibles de faire douter une femme de la normalité de ses règles :
Intensité du flux :
Il s’agit en général d’un facteur personnel, très difficile à évaluer. Mais c’est ni l’abondance ni la rareté du flux qui doit attirer l’attention mais le changement brusque de son intensité.
Longueur du cycle :
Un cycle normal ne se déroule pas obligatoirement sur 28 jours. L’important est la régularité et non la longueur du cycle.les changements nets, répétée peuvent indiquer une anomalie.
Fluctuations des saignements :
Il est normal de perdre plus de sang les premiers jours des règles.
Couleur et consistance des saignements :
- en début de règles ou lorsque le flux est peu abondant, les pertes peuvent prendre une teinte marron.
- La présence de caillots est le signe de règles hémorragiques.
Un cycle normal ne se déroule pas obligatoirement sur 28 jours. L’important est la régularité et non la longueur du cycle.les changements nets, répétée peuvent indiquer une anomalie.
Fluctuations des saignements :
Il est normal de perdre plus de sang les premiers jours des règles.
Couleur et consistance des saignements :
- en début de règles ou lorsque le flux est peu abondant, les pertes peuvent prendre une teinte marron.
- La présence de caillots est le signe de règles hémorragiques.
On s’intéresse ici aux troubles les plus fréquents :
1- règles abondantes (ménorragie)
2- Absence prolongée de règle (aménorrhée)
3- règles douloureuses (dysménorrhées).
1- règles abondantes (ménorragie)
2- Absence prolongée de règle (aménorrhée)
3- règles douloureuses (dysménorrhées).
1- Aménorrhée (Régles Absentes):
On peut définir l’aménorrhée comme l’absence des règles. On distingue :
- Aménorrhée primaire : Le non apparition des règles chez la jeune fille.
- Aménorrhée secondaire : disparition des menstruations chez la femme (en dehors de la ménopause).
On peut définir l’aménorrhée comme l’absence des règles. On distingue :
- Aménorrhée primaire : Le non apparition des règles chez la jeune fille.
- Aménorrhée secondaire : disparition des menstruations chez la femme (en dehors de la ménopause).
a- Aménorrhée primaire :
Il s’agit d’une jeune fille qui n’a jamais eue des règles. Il peut s’agir : d’anomalies anatomiques ou malformations :
- L’imperforation de l’hymen.
- L’absence congénitale de vagin.
Retard pubertaire simple. un syndrome de Turner. L’évaluation du développement de la glande mammaire, l’évaluation de la taille et du poids, l’analyse des antécédents personnels de l’adolescente et la notion de maladies générales, est indispensable pour l’orientation diagnostique d’une aménorrhée primaire. Il faudra également évaluer le degré de stress, le niveau d’activité physique et l’apport calorique.
Il s’agit d’une jeune fille qui n’a jamais eue des règles. Il peut s’agir : d’anomalies anatomiques ou malformations :
- L’imperforation de l’hymen.
- L’absence congénitale de vagin.
Retard pubertaire simple. un syndrome de Turner. L’évaluation du développement de la glande mammaire, l’évaluation de la taille et du poids, l’analyse des antécédents personnels de l’adolescente et la notion de maladies générales, est indispensable pour l’orientation diagnostique d’une aménorrhée primaire. Il faudra également évaluer le degré de stress, le niveau d’activité physique et l’apport calorique.
b- Aménorrhée secondaire :
Devant une aménorrhée, il faut toujours penser à une grossesse.
- La grossesse. Cause la plus fréquente d’aménorrhée, elle doit être la première suspectée chez une femme sexuellement active.
- L’allaitement. Souvent, les femmes qui allaitent n’ont pas de menstruations.
- la ménopause.
- L’aménorrhée post contraceptive : (L’arrêt de la prise d’un moyen contraceptif) : un délai de quelques mois est possible avant que le cycle normal se rétablisse.
- L’aménorrhée de la sportive : (La pratique d’une discipline ou d’un sport exigeant) l’aménorrhée serait attribuable à l’insuffisance de tissus gras ainsi qu’au stress auquel la sportive est soumise.
- L’aménorrhée dite psychogène :(Un stress ou un choc psychologique).
- L’obésité.
- La prise de médicaments comme des corticoïdes oraux, des antidépresseurs ou de la chimiothérapie.
- La toxicomanie.
- Des maladies chroniques ou endocriniennes : la tuberculose, le diabète, une tumeur ou un kyste ovarien, l’hyperthyroïdie.
L’application des mesures préventives (alimentation saine, maintien du poids santé, gestion du stress, modération dans la pratique d’exercices physiques) permet le retour des menstruations chez plusieurs femmes. Ainsi, dans la majorité des cas, un traitement médical n’est pas nécessaire.
Devant une aménorrhée, il faut toujours penser à une grossesse.
- La grossesse. Cause la plus fréquente d’aménorrhée, elle doit être la première suspectée chez une femme sexuellement active.
- L’allaitement. Souvent, les femmes qui allaitent n’ont pas de menstruations.
- la ménopause.
- L’aménorrhée post contraceptive : (L’arrêt de la prise d’un moyen contraceptif) : un délai de quelques mois est possible avant que le cycle normal se rétablisse.
- L’aménorrhée de la sportive : (La pratique d’une discipline ou d’un sport exigeant) l’aménorrhée serait attribuable à l’insuffisance de tissus gras ainsi qu’au stress auquel la sportive est soumise.
- L’aménorrhée dite psychogène :(Un stress ou un choc psychologique).
- L’obésité.
- La prise de médicaments comme des corticoïdes oraux, des antidépresseurs ou de la chimiothérapie.
- La toxicomanie.
- Des maladies chroniques ou endocriniennes : la tuberculose, le diabète, une tumeur ou un kyste ovarien, l’hyperthyroïdie.
L’application des mesures préventives (alimentation saine, maintien du poids santé, gestion du stress, modération dans la pratique d’exercices physiques) permet le retour des menstruations chez plusieurs femmes. Ainsi, dans la majorité des cas, un traitement médical n’est pas nécessaire.
2- Régles Abondantes ou ménorragie:
Certaines femmes subissent de véritables inondations menstruelles. Au-delà de 80 ml de sang perdu par cycle, on parle de règles abondantes ou ménorragie. Les adolescentes et les femmes proches de la ménopause sont les premières cibles. Les causes sont :
- La fluctuation hormonale.
- un fibrome ou un polype.
Si l’abondance des règles est apparue brusquement ou si elle s’associe à d’autres troubles (vertiges, maux de têtes, fatigue excessive) il faut consulter un médecin ou un gynécologue. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les pilules et les anti-fibrinolytiques permettent de diminuer l’hémorragie. Si la perte de sang se double d’une anémie, des cures de fer sont prescrites.
Certaines femmes subissent de véritables inondations menstruelles. Au-delà de 80 ml de sang perdu par cycle, on parle de règles abondantes ou ménorragie. Les adolescentes et les femmes proches de la ménopause sont les premières cibles. Les causes sont :
- La fluctuation hormonale.
- un fibrome ou un polype.
Si l’abondance des règles est apparue brusquement ou si elle s’associe à d’autres troubles (vertiges, maux de têtes, fatigue excessive) il faut consulter un médecin ou un gynécologue. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les pilules et les anti-fibrinolytiques permettent de diminuer l’hémorragie. Si la perte de sang se double d’une anémie, des cures de fer sont prescrites.
3- Régles Douloureuses dysménorrhées:
Les dysménorrhées touchent près de 50 % des femmes de moins de 30 ans. Les douleurs peuvent soit précéder les règles, soit les accompagner pour s’atténuer progressivement .elles sont parfois accompagnées de vertiges et de maux de tête.
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