L’espèce désigne l'ensemble des êtres vivants présentant un ensemble des
caractéristiques communes : Morphologique, anatomique, physiologique,
biochimique, génétique.
L’espèce est :
L’espèce est :
- L’unité fondamentale de la classification.
- capable d’inter-féconder.
- de descendance fertile.
- capable d’inter-féconder.
- de descendance fertile.
Notion de population: Groupe d'organisme de la même espèce occupant une aire de répartition pour permettre des croisements génétiques selon la loi du hasard.
L'Écologie des populations:
Population : ensemble des membres d’une espèce dans un aire donné à un moment donnée.
Une population est un groupe d’individus de la même espèce qui occupent simultanément le même territoire qui consomment les mêmes ressources alimentaires et qui sont influencé par les mêmes facteurs écologiques.
Espèce cosmopolite ou ubiquiste : est une espèce qui tolère plusieurs facteurs écologiques et qui couvre une plus grande aire de répartition
L'Écologie des populations:
Population : ensemble des membres d’une espèce dans un aire donné à un moment donnée.
Une population est un groupe d’individus de la même espèce qui occupent simultanément le même territoire qui consomment les mêmes ressources alimentaires et qui sont influencé par les mêmes facteurs écologiques.
Espèce cosmopolite ou ubiquiste : est une espèce qui tolère plusieurs facteurs écologiques et qui couvre une plus grande aire de répartition
Dynamique de la population:
* Fluctuation en nombre de population d’animaux ou des plantes
* Comprendre les influences environnementales (les facteurs responsables) sur les effectifs de la population.
* Des études sur des sujets sont incontournables comme par exemples :
- La gestion de la pèche.
- La gestion cynégétique (gestion de la faune sauvage qui a rapport à la chasse).
- Le management de zones protégées.
- Le contrôle des animaux dites nuisible.
Le système population-environnement:
* Des études sur des sujets sont incontournables comme par exemples :
- La gestion de la pèche.
- La gestion cynégétique (gestion de la faune sauvage qui a rapport à la chasse).
- Le management de zones protégées.
- Le contrôle des animaux dites nuisible.
Le système population-environnement:
Les populations naturelles ne sont jamais des entités isolés (c-à-d ils sont toujours en contact avec autres populations): elles s’insèrent dans un environnement avec lequel elles sont en étroite relation et dont elles dépendent. Ainsi pour l’écologiste des populations la véritable unité fonctionnelle est le système Population-environnement.
Populations: unité biologique fondamentales et sont caractérisées par une série de variable d’état tel que :
• L’effectif ou la densité
• La structure spatiale (modalité de distribution des individus dans le milieu).
• La structure démographique (âge et sexe)
• La structure génétique (fréquence allélique)
• L’organisation sociale
Caractéristiques de la population
• L’effectif ou la densité
• La structure spatiale (modalité de distribution des individus dans le milieu).
• La structure démographique (âge et sexe)
• La structure génétique (fréquence allélique)
• L’organisation sociale
Caractéristiques de la population
L’environnement
Le cadre climatique et physico-chimique où évolue la population.
Les autres populations présentent pour l’espèce étudier soit :
• Des sources de nourritures
• Des ennemies (prédateurs, parasites ou herbivore pour les cas des plantes)
• Des compétiteurs qui peuvent entrer en concurrence avec elles pour l’exploitation de la nourriture ou l’utilisation de de l’espace.
• Des espèces coopérants (mutualisme et symbiose..)
Compétition intra-spécifique et interspécifiques
En écologie, la compétition est donnée comme le fait que des individus d’une même espèce (compétition intra spécifique) ou d’espèces différents (compétition interspécifiques) concurrencent pour l’accèe à des sources :
* Alimentaire
* Territoriale
* Partenariale …
Le cadre climatique et physico-chimique où évolue la population.
Les autres populations présentent pour l’espèce étudier soit :
• Des sources de nourritures
• Des ennemies (prédateurs, parasites ou herbivore pour les cas des plantes)
• Des compétiteurs qui peuvent entrer en concurrence avec elles pour l’exploitation de la nourriture ou l’utilisation de de l’espace.
• Des espèces coopérants (mutualisme et symbiose..)
Compétition intra-spécifique et interspécifiques
En écologie, la compétition est donnée comme le fait que des individus d’une même espèce (compétition intra spécifique) ou d’espèces différents (compétition interspécifiques) concurrencent pour l’accèe à des sources :
* Alimentaire
* Territoriale
* Partenariale …
La compétition ou la concurrence existe lorsque :
• Les individus de la même espèce ou d’espèces différentes cherchent et exploitent la même ressource présente en quantité limitée.
• Les ressources ne sont pas suffisantes mais les organismes en concurrences se nuisent.
Compétition intra-spécifique
Lorsqu’on parle de compétition en écologie on parle d’affrontement entre les organismes d’une même espèce dans le but d’affirmer leur dominance et d’établir une organisation sociale.
• Les individus de la même espèce ou d’espèces différentes cherchent et exploitent la même ressource présente en quantité limitée.
• Les ressources ne sont pas suffisantes mais les organismes en concurrences se nuisent.
Compétition intra-spécifique
Lorsqu’on parle de compétition en écologie on parle d’affrontement entre les organismes d’une même espèce dans le but d’affirmer leur dominance et d’établir une organisation sociale.
La compétition par exploitation indirect
Il s’agit de l’exploitation excessive d’une ressource par des individus, ce qui va résulter une diminution de la disponibilité de cette ressource pour les autres individus de cette même espèce. Cette compétition est donc indirecte car elle ne cherche pas de contact physique ou d’interactions directes entre les individus pour entrer en jeu. Enfin il est indispensable que la ressource considérer soit limitante pour que les individus entre en compétition.
La compétition par interférence direct
Il s’agit d’une interaction directe, négative entre les deux individus, où l’un d’eux réduit la capacité de l’autre a exploite une ressource commun, quel que soit le niveau de cette ressource. Cette interaction peut prendre différents formes : territoriale, surdéveloppement, pollifération, allelopathie (tout effet direct ou indirect positive ou négative d’un plante (microorganisme inclus) sur une autre, par le biais des composés biochimiques libérer dans l’environnement).
Relation interspécifiques
Ces sont les relations de types trophiques au sein d’un écosystème.Ces relations sont nombreuses et forment un réseau complexe. Parmi ces relations on trouve : Prédation, le parasitisme, le mutualisme, la symbiose, le commensalisme, la phorésie, la compétition...
La prédation
• Recherche active d’une proie animale ou végétale pour se nourrir.
• C’est une interaction bénéfique aux prédateurs et mauvaise pour la proie.
• Le prédateur va modifier l’abondance des espèces proie mais ne conduira pas ses proies jusqu’à l’extinction afin d’assurer sa survie et la pérennité de ses ressources.
Le parasitisme
Le parasite se nourrie au dépend de son hôte (vivant) mais ne le fait pas mourir (apriori) Ecto ou endoparasite.
Le parasitisme des végétaux par des végétaux se fait généralement au niveau de plantes supérieures.
Les champignons parasitent l’espèce animale (ectoparasite).
Les champignons parasitent l’espèce végétale au niveau de l’appareil végétative ou reproductive.
Le mutualisme
Les deux organismes vont trouver de bénéfice réciproque de manier à augmenter la survie de la communauté. Celui-ci pouvant être la protection, l’apport des nutriments, la pollinisation, Exp :
Association fournis/acacia.
- Les fournis protègent l’arbre ,,,,,,,
Association algues/cnidaire
- Les algues fournis du sucre par photosynthèse.
- Les cnidaires fournis des sous-produits organiques du métabolisme aux algues
Association algues/champignon.
- Les algues fournis du sucre par photosynthèse.
- Les champignons fournissent de l’humidité et des éléments minéraux aux algues.
La symbiose
C’est une interaction biologique dans lequel les partenaires ne vivre l’un sans l’autre.
Exp :
Certains insectes (termites) xylophage sont dépourvus des cellulases, ces insectes utilisent pour pallier cette carence, des symbiotes, ces dernières sont des protozoaires flagellé et se trouve au niveau de la panse rectal des hôtes.Ces symbiotes sont capables d’élaborer la cellulase pour métaboliser la cellulose. Les protozoaires ne peuvent pas vivre hors des termites à cause de sa température constante.
La différence entre la symbiose et le mutualisme est que la symbiose est obligatoire sans l’une l’autre va mourir contrairement à la mutualisme.
Le commensalisme
Un commensal est un animal qui vit au voisinage, sur, ou dans le corps d’un animal d’une autre espèce sans lui causer aucun effet. Ce dernieranimal sert au commensal un support, d’abris.
Expl :
Les Hérons garde-bœuf se nourrissent des insectes que les gros animaux font sortir de la végétation et ceux-ci ne souffrent pas.
Les oiseaux mangent également les ectoparasites qui vivent sur eux.
Commensalisme = vivre avec, exemple la souris vivant dans la maison de l’homme.
La phorésie
La phorésie = porter ou transporter. La relation est bénéfique pour l’un des partenaires et neutre pour l’autre.
Expl : les acariens porté par des coléoptiles coprophages (qui mangent des déchets d’animaux).on donne le nom de phorésie à un cas particulier de commensalisme (de transport)
C’est une relation sans problème (effet) pour les deux espèces.
L’amensalisme
Une relation entre deux espèces d'organismes dans lesquels les individus d'une même espèce affecte négativement ceux de l'autre et ne sont pas affectés eux-mêmes.
Il est voisin du commensalisme et du parasitisme. Une espèce amensale est inhibée dans sa croissance par une espèce inhibitrice. De nombreux espèces ont un effet négative sur les espèces à avoisinantes qu’elles sont neutre. Exemple la sécrétion par les racines de Hieracuim de substance toxique permet à cette composé d’éliminer les annuelles l’entourant et de former des peuplements pur sur d’assez grande surface. Plus simplement un arbre faisant de l’ombre aux jeunes pousses des sous-bois défavorisé leur croissance. Tous ces cas se regroupent sous le terme d’amensalisme.
La compétition
Lorsque deux espèces avant les mêmes se gênent pour satisfaire leur besoin (exigence).
Il s’agit de l’exploitation excessive d’une ressource par des individus, ce qui va résulter une diminution de la disponibilité de cette ressource pour les autres individus de cette même espèce. Cette compétition est donc indirecte car elle ne cherche pas de contact physique ou d’interactions directes entre les individus pour entrer en jeu. Enfin il est indispensable que la ressource considérer soit limitante pour que les individus entre en compétition.
La compétition par interférence direct
Il s’agit d’une interaction directe, négative entre les deux individus, où l’un d’eux réduit la capacité de l’autre a exploite une ressource commun, quel que soit le niveau de cette ressource. Cette interaction peut prendre différents formes : territoriale, surdéveloppement, pollifération, allelopathie (tout effet direct ou indirect positive ou négative d’un plante (microorganisme inclus) sur une autre, par le biais des composés biochimiques libérer dans l’environnement).
Relation interspécifiques
Ces sont les relations de types trophiques au sein d’un écosystème.Ces relations sont nombreuses et forment un réseau complexe. Parmi ces relations on trouve : Prédation, le parasitisme, le mutualisme, la symbiose, le commensalisme, la phorésie, la compétition...
La prédation
• Recherche active d’une proie animale ou végétale pour se nourrir.
• C’est une interaction bénéfique aux prédateurs et mauvaise pour la proie.
• Le prédateur va modifier l’abondance des espèces proie mais ne conduira pas ses proies jusqu’à l’extinction afin d’assurer sa survie et la pérennité de ses ressources.
Le parasitisme
Le parasite se nourrie au dépend de son hôte (vivant) mais ne le fait pas mourir (apriori) Ecto ou endoparasite.
Le parasitisme des végétaux par des végétaux se fait généralement au niveau de plantes supérieures.
Les champignons parasitent l’espèce animale (ectoparasite).
Les champignons parasitent l’espèce végétale au niveau de l’appareil végétative ou reproductive.
Le mutualisme
Les deux organismes vont trouver de bénéfice réciproque de manier à augmenter la survie de la communauté. Celui-ci pouvant être la protection, l’apport des nutriments, la pollinisation, Exp :
Association fournis/acacia.
- Les fournis protègent l’arbre ,,,,,,,
Association algues/cnidaire
- Les algues fournis du sucre par photosynthèse.
- Les cnidaires fournis des sous-produits organiques du métabolisme aux algues
Association algues/champignon.
- Les algues fournis du sucre par photosynthèse.
- Les champignons fournissent de l’humidité et des éléments minéraux aux algues.
La symbiose
C’est une interaction biologique dans lequel les partenaires ne vivre l’un sans l’autre.
Exp :
Certains insectes (termites) xylophage sont dépourvus des cellulases, ces insectes utilisent pour pallier cette carence, des symbiotes, ces dernières sont des protozoaires flagellé et se trouve au niveau de la panse rectal des hôtes.Ces symbiotes sont capables d’élaborer la cellulase pour métaboliser la cellulose. Les protozoaires ne peuvent pas vivre hors des termites à cause de sa température constante.
La différence entre la symbiose et le mutualisme est que la symbiose est obligatoire sans l’une l’autre va mourir contrairement à la mutualisme.
Le commensalisme
Un commensal est un animal qui vit au voisinage, sur, ou dans le corps d’un animal d’une autre espèce sans lui causer aucun effet. Ce dernieranimal sert au commensal un support, d’abris.
Expl :
Les Hérons garde-bœuf se nourrissent des insectes que les gros animaux font sortir de la végétation et ceux-ci ne souffrent pas.
Les oiseaux mangent également les ectoparasites qui vivent sur eux.
Commensalisme = vivre avec, exemple la souris vivant dans la maison de l’homme.
La phorésie
La phorésie = porter ou transporter. La relation est bénéfique pour l’un des partenaires et neutre pour l’autre.
Expl : les acariens porté par des coléoptiles coprophages (qui mangent des déchets d’animaux).on donne le nom de phorésie à un cas particulier de commensalisme (de transport)
C’est une relation sans problème (effet) pour les deux espèces.
L’amensalisme
Une relation entre deux espèces d'organismes dans lesquels les individus d'une même espèce affecte négativement ceux de l'autre et ne sont pas affectés eux-mêmes.
Il est voisin du commensalisme et du parasitisme. Une espèce amensale est inhibée dans sa croissance par une espèce inhibitrice. De nombreux espèces ont un effet négative sur les espèces à avoisinantes qu’elles sont neutre. Exemple la sécrétion par les racines de Hieracuim de substance toxique permet à cette composé d’éliminer les annuelles l’entourant et de former des peuplements pur sur d’assez grande surface. Plus simplement un arbre faisant de l’ombre aux jeunes pousses des sous-bois défavorisé leur croissance. Tous ces cas se regroupent sous le terme d’amensalisme.
La compétition
Lorsque deux espèces avant les mêmes se gênent pour satisfaire leur besoin (exigence).
